Une proposition qui ne se refusait pas…
Stéphanie Tschopp m’a fait l’honneur de me demander de parrainer son blog. Ce que j’ai accepté bien volontiers.
D’abord parce que, ayant moi-même tenté l’expérience du blog durant six mois avant de le laisser lamentablement tomber (adieu lostincinema.com…), je sais que tout soutien, fut-il infime et symbolique, n’est pas de trop dans ce solitaire travail de titan qu’elle a la folie de relever.
Ensuite, il faut bien le dire, parce que j’ai pu mesurer sa réelle passion pour le cinéma lors du Festival International de Films de Fribourg : j’ai eu le sentiment de la voir assise à chacune de nos près de 200 séances. Ce qui est évidemment impossible, mais je ne crois pas que quiconque, parmi les festivaliers, ait vu autant de films qu’elle!
Enfin, je suis heureux de lire ce blog parce que cette boulimique de pellicule n’est pas du genre à simplement battre des records: elle a réussi, par-delà son appétit si éclectique, ce miracle, rare parmi les cinéphiles au long cours, de conserver et d’entretenir un canal direct entre ses yeux, ses oreilles et son cœur. Là où d’autres ont tendance à porter au cinéma un amour cérébral, Stéphanie fait partie de ces personnes qui sortent de chaque bon film les larmes aux yeux.
Pour tout dire, j’espère secrètement découvrir dans ses textes si, au fond, sa cinéphilie serait, non pas un virus comme celui que j’ai attrapé comme tant d’autres, mais inscrite dans son ADN: Stéphanie est l' arrière-petite-fille du premier propriétaire de salles à Fribourg... Si cette hypothèse devait se vérifier à la longue, il faudra sérieusement envisager que les festivals de demain incluent des sections de traitement génétique au lieu de chercher à inoculer le virus…
Il ne reste plus qu’à lire pour en avoir le cœur… net!
Thierry Jobin
Directeur artistique, Festival International de Films de Fribourg
D’abord parce que, ayant moi-même tenté l’expérience du blog durant six mois avant de le laisser lamentablement tomber (adieu lostincinema.com…), je sais que tout soutien, fut-il infime et symbolique, n’est pas de trop dans ce solitaire travail de titan qu’elle a la folie de relever.
Ensuite, il faut bien le dire, parce que j’ai pu mesurer sa réelle passion pour le cinéma lors du Festival International de Films de Fribourg : j’ai eu le sentiment de la voir assise à chacune de nos près de 200 séances. Ce qui est évidemment impossible, mais je ne crois pas que quiconque, parmi les festivaliers, ait vu autant de films qu’elle!
Enfin, je suis heureux de lire ce blog parce que cette boulimique de pellicule n’est pas du genre à simplement battre des records: elle a réussi, par-delà son appétit si éclectique, ce miracle, rare parmi les cinéphiles au long cours, de conserver et d’entretenir un canal direct entre ses yeux, ses oreilles et son cœur. Là où d’autres ont tendance à porter au cinéma un amour cérébral, Stéphanie fait partie de ces personnes qui sortent de chaque bon film les larmes aux yeux.
Pour tout dire, j’espère secrètement découvrir dans ses textes si, au fond, sa cinéphilie serait, non pas un virus comme celui que j’ai attrapé comme tant d’autres, mais inscrite dans son ADN: Stéphanie est l' arrière-petite-fille du premier propriétaire de salles à Fribourg... Si cette hypothèse devait se vérifier à la longue, il faudra sérieusement envisager que les festivals de demain incluent des sections de traitement génétique au lieu de chercher à inoculer le virus…
Il ne reste plus qu’à lire pour en avoir le cœur… net!
Thierry Jobin
Directeur artistique, Festival International de Films de Fribourg
Quel magnifique message!!
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